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Publié par ERASME

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P
Il peut exister des dimensions de l'univers "total" où le temps semble ne pas exister. C'est simplement qu'il s'écoule à une vitesse 400.000 fois inférieure à la notre (voire 2.8 millions de fois inférieure au plus par Rapport au temps le plus rapide). <br /> Notre univers dit einsteinien comporte 3 dimensions spatiales et une dimension temporelle. <br /> Conformément à l'intuition d'Einstein, elles forment un "bloc" dit de symétrie orthogonale. <br /> Tandis que les propriétés des autres dimensions considérées dans leur plan projectif se déduisent de la circularité, du spin, figurés par le compas, cela veut dire que la plupart des propriétés du bloc espace-temps se déduisent de l'équerre :<br /> - c.a.d de sa métrique ;<br /> - c.a.d encore de la définition de la notion de distance ; <br /> - c.a.d encore de l'ensemble des parcours possibles équivalents d'un couple énergie-information par exemple matérialisé par un photon. <br /> C'est le rôle que joue la distance géométrique ou lorentzienne pour un univers approximativement plat non influencé par son contenu (relativité restreinte).<br /> Si l'on tient compte de son contenu local et globalement de sa courbure (relativité générale), c'est plus compliqué. Les équations se complexifient à vue d’œil mais c'est fondamentalement la même chose.<br /> La conjecture de Poincaré, désormais prouvée, résume cette relation intrinsèque entre temps et espace spatial. <br /> Si notre univers est (grosso modo) d'un seul tenant il est homéomorphe à une sphère de dimension 3, c a d à la surface d'une boule de dimension 4. <br /> Le temps est alors le plan projectif de l'ensemble des rayons sur l'axe des imaginaires.<br /> Il en découle qu'il existe une relation intrinsèque entre la dilatation de l'espace et la mesure du temps à l'échelle globale, et donc localement entre la dilatation de l'espace et la dilatation du temps : c'est la même chose ! La relativité générale n'exprime en réalité rien d'autre.<br /> Au sein de cet espace, comme une distance ne peut être négative, il s'en déduit des inégalités (lumière et inégalités de Bell). De même qu'on ne peut franchir une vitesse dépassant la fréquence de présentation des informations (dite par simplification vitesse limite de la lumière), pour en revenir à l'article de référence, on ne peut donc pas ralentir ou accélérer le temps (par sommation ou intégrale sur le parcours des déformations locales) au-delà d'une certaine limite, celle invoquée dans l'article.<br /> Mais en fait, cette limite PEUT être elle-même violée, tout comme l'intrication viole la dite vitesse de la lumière, et dans ce cas ce n'est plus le temps qui se dédouble mais les dimensions temporelles, ce pourquoi de 3 elles passent à 6 (comme l'illustrait déjà le livre de la sortie vers la lumière de l’Égypte antique dans l'exposé des "ETA"ges (H) du corps total).<br /> Le temps qui s'y écoule est 400.000 fois plus rapide dans les branes incursés dans les espaces dits de Planck et 400.000 fois moins rapide au plus dans les trous noirs et notamment celui de la singularité initiale. Celle la plus rapide est la vitesse-fréquence à laquelle s'effectuent les accès du cerveau "hors matière" (d'où là encore les six couches du cortex cérébral potentiel de tout être de conscience. Nous y reviendrons !)<br /> Au final, on retrouve les 12 dimensions de la théorie des cordes ou de ses avatars comme la physique quantique à boucle.
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