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Publié par ERASME

À quel moment basculons-nous dans une société génocidaire ? Cette question troublante se pose face à une série d'actions gouvernementales et de politiques publiques qui marginalisent et discriminent des groupes spécifiques de notre société. Refuser des soins médicaux aux personnes non-injectées, abandonner les aînés, suspendre les soignants, pompiers et militaires qui refusent les injections : ces actions créent un climat de division et d'exclusion. Est-ce le début d'une pente glissante qui pourrait mener à un génocide moderne ?
Historiquement, les génocides n'ont jamais commencé du jour au lendemain avec les atrocités ultimes. L'Holocauste, par exemple, a débuté par neuf années de restrictions progressives des droits et des libertés des Juifs, les privant peu à peu de leur humanité. Aujourd'hui, nous voyons des parallèles troublants avec les campagnes de communication gouvernementale qui stigmatisent certains groupes comme des menaces pour la santé publique, rappelant les années 1930 où les Juifs étaient dépeints comme des « propagateurs de maladies ». Cette diabolisation systématique et cette ostracisation progressive sont des signaux d'alarme que nous ne pouvons ignorer.
L'objectif de cette vidéo est de vous inviter à réfléchir aux dérives potentielles de nos sociétés modernes. À travers une discussion passionnante avec Mike Borowski et Vincent Pavan, nous explorerons les motivations et les conséquences de ces politiques répressives et interrogerons la légitimité des mesures qui peuvent sembler anodines mais qui, accumulées, pourraient mener à des scénarios catastrophiques.
La vigilance citoyenne est essentielle pour préserver nos libertés individuelles et prévenir la répétition des erreurs du passé. Il est impératif de s'informer, de débattre et de questionner les décisions prises en notre nom. Ensemble, analysons ces parallèles historiques et discutons des dangers potentiels des concessions faites au nom de la sécurité ou de la santé publique.
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