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Publié par ERASME

le bloc de droite atteint pour la première fois 61 mandats

Après le retentissant assassinat de Nasrallah – choc dans les sondages : le bloc de droite obtient, pour la première fois depuis le déclenchement de la guerre, 61 mandats . Le Likoud le Parti au pouvoir avec 31 mandats, Netanyahu creuse l’écart sur ses adversaires sur la question d’aptitude au poste de Premier ministre.

Choc dans les sondages : Pour la première fois depuis le déclenchement d’une guerre aux épées de fer, le bloc de droite se redresse et atteint 61 mandats dans les sondages, selon une enquête sur les mandats publiée ce soir dans la « Main Edition » ( Dimanche). Cette enquête intervient environ deux jours après l’assassinat retentissant de Hassan Nasrallah, le terroriste libanais par excellence, sur la tête duquel 83 tonnes de bombes pénétrantes dans les bunkers ont atterri un soir de Shabbat entre les soleils.

L’enquête, réalisée par l’institut de sondage « Direct Falls », montre que si les élections avaient eu lieu aujourd’hui, le parti au pouvoir, le Likoud , aurait obtenu 31 mandats ; Juste après elle se trouve le camp d’État de Gantz avec 15 mandats et avec lui Israël Beitenu d’Avigdor Lieberman qui continue de grimper dans les sondages et remporte également 15 mandats.

En troisième position se trouve le Shas dirigé par Deri avec 11 mandats ; Il est suivi par les Démocrates dirigés par Yair Golan, le parti qui combine travailliste et Meretz, avec 10 mandats ; Il y a un avenir pour le chef de l’opposition Yair Lapid avec seulement 9 mandats ; Le judaïsme de la Torah accomplit ses 8 mandats permanents.

Enquête de mandat dramatique Photographies : PM, Yonatan Zindel, Olivia Pitosi, Aryeh Leib Abrams, Yossi Aloni, Avshalom Sashoni, Flash 90, porte-parole
 

Ceux qui ne dépassent pas le seuil : le parti Balad , qui n’obtient que 2,3 pour cent, et la Droite d’État , le parti de Gideon Sa’ar, entré ce soir au gouvernement, qui n’obtient que 0,6 pour cent au sondage. Nous soulignons que l’enquête a été menée quelques heures avant l’annonce conjointe de Saar et de Netanyahu concernant leur adhésion au gouvernement.

Pour la première fois depuis le début de la guerre, comme indiqué, le bloc de droite obtient 61 mandats lors des élections. Le bloc d’opposition , de centre-gauche, ne compte que 49 mandats. Les partis arabes sont stables avec leurs 10 mandats.

Pour la première fois depuis le début de la guerre : le bloc de droite avec 61 mandats Photo : Olivia Pitosi, Flash 90

Sur la même question de la compatibilité entre Netanyahu et Lapid , le Premier ministre accumule un écart plus important et s’élève à 54 pour cent des sondés, alors que Lapid n’atteint que 24 pour cent, et 22% des personnes interrogées pensent qu’aucun d’entre eux n’est apte à occuper le poste.

PS : L’échantillon a été réalisé par Shlomo Filber et Zuriel Sharon via Direct Falls Ltd. pour Channel Now 14 le 29 septembre 2024, à l’aide d’un système numérique combiné à un panel, parmi 520 adultes échantillonnés (18 ans et plus) qui constituent un échantillon représentatif de la population générale. population en Israël. L’erreur d’échantillonnage statistique est de 4,3 % ± 95 % de probabilité.

Ce renversement de situation dans les sondages n’est pas le fruit du hasard. L’évolution dans le sens d’un Likoud fort tient au fait que les dirigeants de l’opposition, durant une année, ont crié haut et fort, pour qu’Israël abandonne le combat, signe une trêve, qui était une capitulation en rase campagne, et ont tous démontré qu’ils n’avaient qu’une courte vue de l’histoire, en étant incapables de donner du temps au temps.

L’utilisation misérable des otages, pour faire plier Israël était la pari de Sinwar. Ce dernier a trouvé dans les haineux de Kaplan des alliés de poids, subventionnés par des Soros ou des associations écran anti-israéliennes.

Cette incompétence flagrante de l’opposition – qui s’était alliée au Hamas israélien durant son éphémère mandat – était assise sur un mépris, voire une haine de Netanyahu.  C’est le prix de leur haine qu’ils devront payer ad vitam aeternam. Leurs déclarations leur colleront à la peau jusqu’à leur retrait de la vie politique.

Et pourtant ce n’est pas faute de la part de Netanyahou de les avoir invités à entrer au gouvernement. Benny Gantz et Gadi Eizenkot l’ont fait à contrecœur. Puis ils ont affiché publiquement leurs analyses fumeuses et leur volonté de se coucher devant Biden au détriment des intérêts vitaux d’Israël, puis ont quitté précipitamment un gouvernement en définitive vainqueur du Hamas, du Hezbollah et tenant en joue le régime iranien.

Après avoir démontrer que ses choix étaient les meilleurs pour Israël, Netanyahou apparaît légitiment le meilleur rempart pour Israël et le plus à même à être encore le premier ministre de l’Etat d’Israël.

Pendant que certains se moquaient de lui en direct, dans les médias, (voir article du Haaretz) alors que Netanyahou s’adressait au monde entier depuis la tribune de l’ONU, ils commettaient l’erreur de trop. Ils ne savaient pas que ce dernier gérait au même moment et pour faire diversion, l’une des plus belles opération de l’armée israélienne. Ces moqueurs et ces haineux se sont décrédibilisés pour un long moment. Et les sondages ne feront pas le balancier en leur faveurs. Cette tendance sera durable, parce que leur chute le sera aussi.

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