Le 7 février 2022, le président de la République se rend à Moscou pour soi-disant tenter d’arrêter la guerre imminente entre la Russie et l’Ukraine lors d’un tête-à-tête de cinq heures. En réalité en pleine campagne électorale, il veut se donner une stature de grand homme d’État, face à Marine Le Pen.

Six mètres de long, laquée de blanc et ornée de feuilles d’or, c’est autour de cette table désormais entrée dans l’histoire que s’est joué le destin d’Emmanuel Macron. Depuis plusieurs semaines, la Russie masse des troupes aux frontières de l’Ukraine, laissant redouter une invasion à laquelle les européens ne croient pas, malgré les avertissements des États-Unis. Face à la montée des tensions, le chef de l’État tente de jouer la carte diplomatique, mais il ne pèse que son propre poids. Il faut empêcher le retour de la guerre sur le continent européen. Le président russe accepte de le recevoir, mais à distance. Vladimir Poutine redoute encore de contracter le Covid. D’ailleurs, il impose des tests PCR à toute la délégation française qui accompagne le président de la République au Kremlin. À toute la délégation, sauf à Emmanuel Macron, qui refuse de s’y plier. Il ne faudrait pas que les Russes en profitent pour s’emparer de son ADN.

On connait la suite. Face à Poutine, il n’y a que des mous, des bavards, des personnes qui ont besoin du « prêt à penser » pour parler, mais incapables d’avoir une quelconque cohérence.

Le 21 février 2022, dans le cadre de la crise russo-ukrainienne, le président russe Vladimir Poutine annonce la reconnaissance russe de l’indépendance des « Républiques populaires » autoproclamées de Donetsk et de Lougansk et les forces armées russes pénètrent dans l’Est de l’Ukraine contrôlé par les républiques séparatistes.

Le 23 février au soir, Poutine annonce lors d’une allocution télévisée lancer une « opération militaire spéciale » en Ukraine. Dans la nuit du 23 au 24, le territoire ukrainien est bombardé et les troupes russes commencent l’invasion générale du territoire ukrainien.

Face à Poutine , un Biden dépassé, qui donne des armes au compte-goutte à l’Ukraine, tout en lui interdisant avec des prétextes fumeux de ne pas attaquer la Russie. L’Europe à la traine essaie de faire au mieux et il faudra 3 ans de guerre avant que l’Ukraine ne reçoive les premiers Mirages français. Les États-Unis dirigés par un Biden faible est entouré de puissances européennes qui sont dans des crises politiques internes, et aucun dirigeant n’a de légitimité, encore moins Macron. Ils font tous le service minimum sans aucune vision réaliste de la situation, allant même jusqu’à parler de victoire ukrainienne en 2023. Face à ses hommes politiques plus faibles les uns que les autres, Poutine malgré ses faiblesses, continue sa guerre coute que coute, quel que soit le nombre de morts.

Aux États-Unis , Biden sombre dans les sondages, jugé sénile par les seins, abandonne la course à la maison blanche au profit de l’inconnue Kamala Harris , qui a comploté contre lui pour être la candidate démocrate.

En Angleterre pas moins de 4 Premiers ministres  se succèdent en 3 ans. Boris Johnson (2019 à 2022), Liz Truss, quelques mois en  2022 Rishi Sunak (2022 à 2024) Keir Starmer depuis le 5 juillet 2024

En France Emanuel Macron désavoué à toutes les élections, s’accroche à son siège avec une cote de popularité au plus bas. Comme le révèle le Baromètre politique Ipsos-La Tribune Dimanche, la cote de popularité d’Emmanuel Macron est tombée à 21 % en janvier 2025.

En Allemagne, avec le départ de Merkel, Olaf Scholz est obligé de faire des élections anticipées qu’il perd brillamment.

En Italie Giorgia Meloni devient présidente du Conseil des ministres le 22 octobre 2022, et tous les dirigeants européens se pincent le nez.

En novembre 2024 Donald Trump est brillamment élu à la surprise générale de la gauche qui ne voie dans les électeurs de Trump que des fascistes. Le 20 janvier 2025, il commence sa révolution. Fini les phrases creuses. Il fait ce qu’il dit et ça étonne tous les hypocrites et il dit ce qu’il fait ce qui offusque les gens bien propres sur eux, alors qu’ils font dans leur culotte pour tout, comme Macron face à l’Algérie, et sa peur de la diaspora algérienne en France.

Ce même Macron veut faire le coq face à Trump et à Poutine. Dans un direct sur YouTube et sur les réseaux sociaux. il gonfle ses muscles et dévoile les propos qu’il tiendra face à Trump. Sauf qu’à l’arrivée la baudruche s’est dégonflée. Zelenski a été plus courageux que Macron, sauf qu’il a cru un peu trop rapidement que l’Europe serait pour lui une bouée de secours. Manque de peau cette bouée est en faite américaine. Quand Trump dit que je veux récupérer ma bouée, avant de sombrer à pic, Zelenski a fait amende honorable. Il a compris que Macron et Keir Starmer, ne sont que des figurants.

Trump n’a pas besoin des Européens pour faire ce qu’il a dans la tête. Quant à Macron en faisant la mouche autour de Trump en voulant un strapontin lors des négociations où il n’est pas invité, il ne fait que parasiter Trump. Pour se donner de l’importance, il prétend que la Russie est presque sur les Champs Élysée et que lui va l’arrêter. Il se prend pour le Maréchal Joffre. Sauf que les Russes ont mis trois ans pour faire 10 kilomètres en Ukraine avec  870.000 morts suivant une évaluation ukrainienne.

Rappelons des faits simples :

Budget de la défense des États-Unis : 946 mrd de $ soit 3.5% de son PIB

Budget de la défense de la Chine    : 296 mrd de $ soit 1.65% de son PIB

Budget de la défense la Russie        : 109 mrd de $ soit 5.4% de son PIB

Budget de la défense de l’Europe    : 387 mrd de $  soit 2.1% de son PIB

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Population des États-Unis     : 340 millions

Population de la Russie         : 145 millions

Population de l’Europe          : 447 millions

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PIB des États-Unis : 27 720 mrd de $

PIB de la Chine : 17 867 mrd de $

PIB de l’Union Européenne : 18 327 mrd de $

PIB de la Russie 2 021 mrd de $

Macron et les médias d’état font dans la manipulation

Monsieur Macron se moque de nous avec la fameuse menace russe. La vraie et unique menace pour l’Europe, c’est son aveuglement face à la vraie menace interne avec des populations attachées à leurs pays d’origine, dont certains sont anti-européens, comme l’Algérie, la Turquie, l’Afghanistan et autres, alors qu’elles sont animées par un islam fondamentaliste.

Manifestement Macron utilise la politique internationale, pour se refaire une santé en interne, et cela porte un nom « la manipulation ». Rappelons qu’il s’était, avec d’autres, moqué de Trump le 25 mai 2017, en visite à l’OTAN.

Trump avait interpellé les mauvais payeurs de l’OTAN.

Lors de son discours, Donald Trump avait évoqué la question qui fâche entre les États-Unis et les autres membres de l’OTAN : celle de l’argent. Le budget de la défense américaine représente 68% du total des dépenses des membres de l’alliance, et il a appelé à un rééquilibrage en invitant chaque pays à hausser son budget dans le domaine à hauteur de 2% de son PIB d’ici 2024. « 23 des 28 nations membres ne payent toujours pas ce qu’elles devraient payer », a-t-il lancé, se vantant d’avoir été « très direct » à ce sujet avec les pays membres et le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg.

Il a aussi réitéré ses critiques sur les priorités de l’alliance – « l’OTAN du futur doit se concentrer sur le terrorisme et l’immigration » – et a évoqué, de façon plus surprenante, « les menaces de la Russie sur les frontières est et sud de l’OTAN » comme un autre sujet préoccupant.

Aux idiots utiles qui continuent de critiquer Donald Trump, il faut les mettre face à leurs résultats catastrophiques en matière de sécurité, à commencer par la sécurité intérieure. Macron devrait assurer le cessez-le-feu en France avant de s’occuper de Gaza. Quant à ses fameuses garanties internationales qu’il réclame à cor et à cri pour l’Ukraine, qu’il regarde les soldats de la FINUL au Liban qui ont fui comme des lapins face au Hezbollah. Tout cela serait d’un grand comique, s’il ne s’agissait pas de notre sécurité.