Si Coluche apparaissait en 2025, que nous dirait-il avec humour ?
Si Coluche revenait en 2025, il aurait de quoi faire avec notre époque ! Voici ce qu’il pourrait nous lancer, avec son humour décalé et son regard acéré :
Sur la politique : « Vous savez, avant, on avait des politiciens qui mentaient avec classe. Maintenant, ils mentent en 280 caractères, et en plus, ils appellent ça de la ‘communication’. Moi, je dis : si on leur donnait un clavier sans la touche ‘Ctrl’, ils feraient moins de dégâts ! »
Sur les réseaux sociaux : « Les réseaux sociaux, c’est comme un bar : y’a des gens qui parlent fort, qui se disputent pour rien, et à la fin, tout le monde rentre chez soi en se disant ‘Putain, j’ai perdu mon temps’. Sauf qu’au bar, au moins, y’a la bière. Là, y’a que des likes. Et les likes, ça se boit pas. »
Sur l’écologie : « On nous dit ‘Sauvons la planète !’ Moi, je veux bien, mais commencez par sauver les gens qui y vivent. Parce qu’à force de nous seriner ‘Faites des efforts’, on finit par se demander si le vrai problème, c’est pas qu’on a plus de planète… ou plus de monde. »
Sur l’intelligence artificielle : « L’IA, c’est comme un gamin surdoué : il sait tout, mais il comprend rien. Sauf que le gamin, au moins, il a une excuse, il a 10 ans. L’IA, elle, elle a accès à tout Wikipedia et elle nous sort des conneries. Moi, je propose qu’on lui donne un redoublement. »
Sur l’argent et la société : « Avant, les riches avaient honte de l’être. Maintenant, ils font des conférences TED pour expliquer pourquoi c’est normal. Moi, je dis : si t’as besoin de justifier ta thune, c’est que t’as déjà perdu la partie. »
Sur l’Europe : « L’Europe, c’est comme une colocation : tout le monde râle sur les règles, personne ne fait la vaisselle, et à la fin, c’est toujours les mêmes qui paient l’addition. Sauf qu’à la colocation, au moins, y’a des soirées. Là, y’a que des sommets. »
Et pour finir, avec un clin d’œil : « Vous savez, moi, je suis mort en 1986. Depuis, j’ai vu passer les années, et franchement… vous me manquez pas. Mais bon, je suis revenu pour vous dire une chose : arrêtez de vous prendre au sérieux. Parce que si on peut plus rire de tout, c’est qu’on peut plus rire de rien. Et ça, c’est triste. »
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