En 2005, alors que la France venait de dire non à la constitution et accusait l’Europe de ne pas protéger ses citoyens face aux dangers de la mondialisation, l’ancien président de la République,
Jacques Chirac, a demandé aux institutions européennes de réagir. Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a alors relancé l’idée d’un fonds « antichoc », alimenté par les
Etats membres. Ce fonds permettrait de réduire les effets d’une délocalisation en proposant aux employés des aides « actives ». Ce mécanisme se rapproche de la fléxicurité des pays scandinaves,
qui investissent plus dans les allocations de recherche d’emploi, de mobilité et de formations que dans les aides « passives », comme les allocations chômage ou les retraites anticipées. Cette
idée de Fonds d’ajustement à la mondialisation n’est pas nouvelle à Bruxelles. Elle avait pourtant toujours été rejetée par les Etats membres, y compris par la France. Les premières entreprises
européennes qui bénéficieront d’une telle aide sont françaises. Bruxelles a débloqué, le 26 juin dernier, 3,8 millions d’euros pour aider les salariés français des entreprises sous-traitantes de
PSA Peugeot-Citroën et Renault. «Nous avons répondu à un réel besoin au niveau de l’UE, en l’occurrence celui ressenti par le secteur de l’industrie automobile qui a expérimenté le côté négatif
de la mondialisation avec la perte d’emploi d’un nombre élevé de personnes», a souligné le commissaire européen à l’Emploi et aux Affaires sociales, Vladimir Spidla.
Source :
http://www.euractiv.fr/europe-sociale/article/france-premire-beneficiaire-fonds-ajustement-mondialisation
Copyright © EurActiv.fr
En 2005, alors que la France venait de dire non à la constitution et accusait l’Europe de ne pas protéger ses citoyens face aux dangers de la mondialisation, l’ancien président de la République,
Jacques Chirac, a demandé aux institutions européennes de réagir. Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a alors relancé l’idée d’un fonds « antichoc », alimenté par les
Etats membres. Ce fonds permettrait de réduire les effets d’une délocalisation en proposant aux employés des aides « actives ». Ce mécanisme se rapproche de la fléxicurité des pays scandinaves,
qui investissent plus dans les allocations de recherche d’emploi, de mobilité et de formations que dans les aides « passives », comme les allocations chômage ou les retraites anticipées. Cette
idée de Fonds d’ajustement à la mondialisation n’est pas nouvelle à Bruxelles. Elle avait pourtant toujours été rejetée par les Etats membres, y compris par la France. Les premières entreprises
européennes qui bénéficieront d’une telle aide sont françaises. Bruxelles a débloqué, le 26 juin dernier, 3,8 millions d’euros pour aider les salariés français des entreprises sous-traitantes de
PSA Peugeot-Citroën et Renault. «Nous avons répondu à un réel besoin au niveau de l’UE, en l’occurrence celui ressenti par le secteur de l’industrie automobile qui a expérimenté le côté négatif
de la mondialisation avec la perte d’emploi d’un nombre élevé de personnes», a souligné le commissaire européen à l’Emploi et aux Affaires sociales, Vladimir Spidla.
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En 2005, alors que la France venait de dire non à la constitution et accusait l’Europe de ne pas protéger ses citoyens face aux dangers de la mondialisation, l’ancien président de la République,
Jacques Chirac, a demandé aux institutions européennes de réagir. Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a alors relancé l’idée d’un fonds « antichoc », alimenté par les
Etats membres. Ce fonds permettrait de réduire les effets d’une délocalisation en proposant aux employés des aides « actives ». Ce mécanisme se rapproche de la fléxicurité des pays scandinaves,
qui investissent plus dans les allocations de recherche d’emploi, de mobilité et de formations que dans les aides « passives », comme les allocations chômage ou les retraites anticipées. Cette
idée de Fonds d’ajustement à la mondialisation n’est pas nouvelle à Bruxelles. Elle avait pourtant toujours été rejetée par les Etats membres, y compris par la France. Les premières entreprises
européennes qui bénéficieront d’une telle aide sont françaises. Bruxelles a débloqué, le 26 juin dernier, 3,8 millions d’euros pour aider les salariés français des entreprises sous-traitantes de
PSA Peugeot-Citroën et Renault. «Nous avons répondu à un réel besoin au niveau de l’UE, en l’occurrence celui ressenti par le secteur de l’industrie automobile qui a expérimenté le côté négatif
de la mondialisation avec la perte d’emploi d’un nombre élevé de personnes», a souligné le commissaire européen à l’Emploi et aux Affaires sociales, Vladimir Spidla.
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En 2005, alors que la France venait de dire non à la constitution et accusait l’Europe de ne pas protéger ses citoyens face aux dangers de la mondialisation, l’ancien président de la République,
Jacques Chirac, a demandé aux institutions européennes de réagir. Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a alors relancé l’idée d’un fonds « antichoc », alimenté par les
Etats membres. Ce fonds permettrait de réduire les effets d’une délocalisation en proposant aux employés des aides « actives ». Ce mécanisme se rapproche de la fléxicurité des pays scandinaves,
qui investissent plus dans les allocations de recherche d’emploi, de mobilité et de formations que dans les aides « passives », comme les allocations chômage ou les retraites anticipées. Cette
idée de Fonds d’ajustement à la mondialisation n’est pas nouvelle à Bruxelles. Elle avait pourtant toujours été rejetée par les Etats membres, y compris par la France. Les premières entreprises
européennes qui bénéficieront d’une telle aide sont françaises. Bruxelles a débloqué, le 26 juin dernier, 3,8 millions d’euros pour aider les salariés français des entreprises sous-traitantes de
PSA Peugeot-Citroën et Renault. «Nous avons répondu à un réel besoin au niveau de l’UE, en l’occurrence celui ressenti par le secteur de l’industrie automobile qui a expérimenté le côté négatif
de la mondialisation avec la perte d’emploi d’un nombre élevé de personnes», a souligné le commissaire européen à l’Emploi et aux Affaires sociales, Vladimir Spidla.
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Doté d'un budget annuel de 500 millions d'euros, le Fonds européen d'ajustement à la mondialisation
(FEM) aide les travailleurs à trouver un nouvel emploi et à acquérir de nouvelles compétences s'ils ont perdu leur emploi pour l'une des raisons suivantes:
- * une modification des équilibres du commerce mondial, par exemple lorsqu'une grande entreprise
ferme ses portes ou qu'une usine est délocalisée dans un pays extérieur à l'Union européenne;
- * la crise financière et économique mondiale, pour laquelle le FEM intervient depuis le
1er mai 2009 et continuera de le faire jusqu'au 30 décembre 2011. La Commission a toutefois proposé d'étendre cette mesure jusqu'au 31 décembre 2013, date à laquelle le
règlement établissant le FEM devra être réexaminé.
Quelle forme prend l'aide au titre du FEM?
Le Fonds finance des mesures telles que:
-
- l'aide à la recherche d'emploi;
-
- l'orientation professionnelle;
-
- la formation et le recyclage sur mesure;
-
- l'accompagnement;
-
- la promotion de l'entrepreneuriat.
Le Fonds fournit également une aide individuelle, ponctuelle et limitée dans le temps, sous les formes
suivantes:
-
- allocations de recherche d'emploi;
-
- allocations de mobilité;
-
- allocations de participation à des activités d'éducation et de formation permanentes.
Le Fonds ne finance pas de mesures de protection sociale telles que des pensions ou des allocations de chômage, qui sont du
ressort des États membres.
Qui peut en bénéficier?
Les travailleurs touchés par des licenciements peuvent bénéficier des systèmes mis en place par les États membres pour leur venir en aide. Le budget du FEM ne peut pas servir à maintenir l'activité d'une entreprise
ou contribuer à sa réorganisation ou sa modernisation.
En quoi le FEM se distingue-t-il des Fonds structurels de l'UE?
Les Fonds structurels de l'UE, dont fait partie le Fonds
social européen (FSE), s'inscrivent davantage dans une perspective stratégique à long terme. Ils promeuvent l'anticipation et la gestion du changement par des activités telles que l'éducation
et la formation tout au long de la vie.
De son côté, le Fonds européen d'ajustement à la mondialisation fournit une aide individuelle, ponctuelle et
limitée dans le temps, destinée à aider les travailleurs touchés par des licenciements liés à la mondialisation ou à la crise actuelle.
Le contexte de sa création
En 2005, alors que la France venait de dire non à la constitution et accusait l’Europe de ne pas protéger ses citoyens face aux
dangers de la mondialisation, l’ancien président de la République, Jacques Chirac, a demandé aux institutions européennes de réagir. Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso,
a alors relancé l’idée d’un fonds « antichoc », alimenté par les Etats membres. Ce fonds permettrait de réduire les effets d’une délocalisation en proposant aux employés des aides « actives ». Ce
mécanisme se rapproche de la fléxicurité des pays scandinaves, qui investissent plus dans les allocations de recherche d’emploi, de mobilité et de formations que dans les aides « passives »,
comme les allocations chômage ou les retraites anticipées. Cette idée de Fonds d’ajustement à la mondialisation n’était pas nouvelle à Bruxelles. Elle avait pourtant toujours été rejetée par les
Etats membres, y compris par la France. Les premières entreprises européennes qui ont bénéficié d’une telle aide sont françaises. Bruxelles a débloqué, le 26 juin 2007, 3,8 millions d’euros pour
aider les salariés français des entreprises sous-traitantes de PSA Peugeot-Citroën et Renault. « Nous avons répondu à un réel besoin au niveau de l’UE, en l’occurrence celui ressenti par le
secteur de l’industrie automobile qui a expérimenté le côté négatif de la mondialisation avec la perte d’emploi d’un nombre élevé de personnes », a souligné le commissaire européen à
l’Emploi et aux Affaires sociales d'alors, Vladimir Spidla. (Source : http://www.euractiv.fr/europe-sociale/article/france-premire-beneficiaire-fonds-ajustement-mondialisation
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Source : http://ec.europa.eu/social/main.jsp?catId=326&langId=fr