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Publié par Christian Piré

Dans un article intitulé 'La zone euro vient de perdre cinq années de productivité' publié dans le quotidien économique Les Echos, Patrick Athuis, directeur de la recherche Natixis, affirme : « Entre la chute de Lehman Brothers en septembre 2008 et juillet 2010, le dollar jouait son rôle de valeur refuge. Même les mauvaises nouvelles sur la croissance américaine le faisaient monter. Depuis juillet, tout s’est inversé. L’analyse économique fondamentale a repris le dessus. La nouvelle vague annoncée et prévisible d’assouplissement quantitatif de la Réserve fédérale américaine, ou « QE2 » pèse sur le billet vert. Les investisseurs diversifient leurs actifs et reviennent vers les marchés émergents. Certains pays, notamment en Asie, sont acculés à défendre leurs monnaies. Depuis 1996, la base monétaire dans le monde a augmenté de 18% par an en moyenne, trois fois plus vite que le PIB ! C’est évidemment cela qui provoque le désordre monétaire. Il est très louable d’appeler de ses vœux un nouvel ordre monétaire, mais cela ne marchera que si on contrôle le niveau des liquidités.»

Que dire des répercussions que nous allons connaître suite au « déversement » de liquidités lors la dernière crise ? Et si la solution résidait dans un changement du système comptable et financier qui diminuerait l’impact de ce « déversement » de liquidités ? Et si la régulation se faisait par une pondération des volumes ?

Depuis 1996, j’attire l’attention sur l’importance des volumes échangés dans l’analyse des cours boursiers.
Est-ce parce que quelques Français ont gagné ou perdu au Loto que l’on dit au reste de la France qu’elle est plus riche ou plus pauvre ?
En bourse, c’est le cas.
Quelques titres échangés à la hausse et la consommation s’accélère, parfois jusqu’à la surconsommation (débridage des crédits) voire à l’euphorie : quelques titres échangés à la baisse et l’on fait croire aux Français que tout va mal, la déprime s’installe, avec elle la sous-consommation jusqu'à créer du chômage.
C’est parce que la dernière crise a de nouveau confirmé l’inadaptation du système de cotation que j’ai  décidé de mettre en ligne une vision NON OFFICIELLE des variations boursières quotidiennes.

Le site « Agence de cotations Environnement, Social & Gouvernance » - www.agencedecotationESG.com  - propose une lecture différente des cours de bourse afin d’apporter une plus grande sérénité aux investisseurs.

Ce site n’est pas un site officiel tant dans sa constitution que dans sa démarche.
Les cotations proposées ne sont en AUCUN CAS des cotations officielles. Elles ne sont la résultante que d’une réflexion personnelle sur une réalité « non officialisée ».

 

 

  

 

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